Nous pouvons être dépendants de tout ce qui est matériel et immatériel, de tout ce qui se voit, se touche, s’entend, se goûte et se respire, enfin vous l’aurez compris, de tous nos sens. Voilà notre faiblesse… ou notre force, cela dépend de l’interprétation que l’on en fait!
La dépendance est le miroir de notre âme, une flagellation intrinsèque, la réminiscence de ce que nous aurions voulu vivre dans un monde idéal, libéré des interférences néfastes que sont les gens, la société et soi-même. C’est le nihilisme dans son essence profonde, le ‘ça’ Freudien, le chaos symphonique!
La dépendance nous permet de vivre sans les artefacts qui nous abusent à longueur de journée, ces broutilles qui nous empêchent d’être heureux.
Mais être dépendant c’est aussi s’aliéner, ne plus contrôler sa vie et laisser son corps et son esprit s’enliser et parfois tomber dans l’abîme de son inconscience.
C’est se haïr chaque jour un peu plus, ne plus s’accepter comme nous sommes, en accusant les ‘autres’ d’être responsables de nos maux.
Puis il y a la dépendance à l’immobilisme intellectuel, celle qui mène directement à l’atrophie du cerveau, aux dégénérescences des neurones… une grande majorité de la population mondiale en souffrent malheureusement.
Il y a aussi la dépendance à la révolte et la volte-face, à la contradiction et au négationnisme, aux rancœurs et au ‘jenedisjamaisbonjour…
Il y a la dépendance à son image, de ce que nous croyons être, mais qui n’est qu’un leurre.
Bienheureux celui qui ne dépend de rien ni de personne.
Féminisme
La question n’est plus de savoir ‘quel monde nous laissons à nos enfants’ mais ‘qu’est-ce que nos enfants vont faire de ce monde’
Nos gamins, aujourd’hui, ont l’esprit d’analyse altéré par une diffusion quotidienne d’informations inutiles et souvent contradictoires. Ils sont sous l’hypnose des réseaux sociaux, mais pas seulement ! Ce qui arrange bien des gens, à commencer Lire la suite…